e saviez-vous ?
Les mongols, sous le règne de Genghis Khan, sont les premiers à avoir utilisé la monnaie sous forme de papier. L'image ci-contre montre l'Empereur à qui on montre deux boîtes contenant de la monnaie de papier. Source : www.marcopolo.mooldoo.com |
Après le succès de "Regards sur le XVIIIe siècle" en avril 2013, l'association "ANTAN PRESENT" de Wattignies vous propose un voyage sur "La Route de la Soie" sur les pas de Guillaume de Rubrouck au XIIIe siècle
mardi 30 septembre 2014
Marco Polo
Marco Polo (1254-1324)
Curieux, passionné du grand large, Marc n'a que 17 ans, en 1271, quand son père et son oncle, importants marchands vénitiens, décident de l'emmener avec eux en Orient. C'est le début de l'aventure qui conduira Marco Polo sur la Route de la soie jusqu'à Shangdu, en 1275, où vit le toutpuissant Kubilay khan. L'empereur s'enthousiasme pour l'intelligence et l'habilité diplomatique du jeune Vénitien, auquel il confie d'importantes charges. Vingt ans après, riche d'expérience et de sagesse, Marco Polo revient dans sa ville natale, prêt à décrire tout ce qu'il a connu, les palais magnifiques, les animaux sauvages, la vie des princes et des gens des campagnes, dans son livre Il Milione (Livre des merveilles du monde). C'est le premier récit extraordinaire sur la Chine mongole.Le coin de Jean Claude : Shangdu
SHANGDU :
Capitale d'été
de Kubilaï qui y a invité Marco Polo . Rien à voir avec la route de la soie,
mais tout avec l'imaginaire qui l'a entourée : le nom de Shangdu a été
déformé en Xanadu : jamais entendu parler ? C'est le titre
d'un poème romantique de S.T. Coleridge, il se trouve dans les titres de
nouvelles de Science-fiction de Kurt Vonnegut, de Ray Bradbury et de Théodore
Sturgeon, le titre d'un film de SF avec Olivia Newton Jones et Gene Kelly, d'un
album de music pop de l'année 68, (DDDBM&T), d'une bande dessinée de SF
française. Bref c'est l'archétype de la ville mythique. Toujours pas ?
Allez donc voir sur Titan, satellite de Saturne, il y a une région qui rappelle
la terre et qui s'appelle …
Le coin de Jean Claude : La Route de la Soie : embryon de mondialisation
La Route de la Soie a mis
en communication des peuples très divers : c'est un embryon de mondialisation pour des peuples
qui s'étaient développés séparément.
Mais son histoire, après avoir
été mise en sommeil est encore liée à l'actualité : une nouvelle route est
en construction pour les échanges entre la Chine et l'Europe.
Autres exemples : des
Tatars habitent toujours en Crimée, les descendants de Cosaques en
Ukraine ; après le démembrement de
l'URSS beaucoup de républiques turques ont pris leur indépendance, les Ouigours
de l'Ouest de la Chine (XinJiang)et sont commee les Tibétains en conflit avec
la Chine ; au Moyen Orient les religions chiites et sunnites sont toujours
en conflit ; des minorités religieuses d'origine très anciennes se
trouvent partout en difficulté quand les religieux prennent le pouvoir.
Essayer de comprendre
l'histoire de la Route de la Soie et de ses peuples,
et de la confronter avec les
rares images que l'on peut en avoir à notre époque (les contes des Mille et une
nuits, Michel Strogoff, Tarass Boulba, Attila, Gengis Khan, Attila) est une
suite d'étonnements et donne rapidement le vertige. C'est une aventure
intellectuelle qui vaut le coup d'être menée...
mercredi 24 septembre 2014
Le coin de Jean Claude : La Soie légendaire
La Soie légendaire : un secret jalousement gardé
L’expression « route de la soie » est récente, puisqu’elle apparaît dans la bouche du géographe allemand Ferdinand Von Richthofen au 19e siècle. Cette notion revêt cependant une réalité historique, géographique et culturelle dont la soie est simplement un symbole, car elle était considérée comme l’un des biens les plus précieux qui voyagèrent d’Asie jusqu’au bassin méditerranéen.
Au IIe siècle Av J.-C. lorsque l’empire du Milieu s’ouvrit à l’occident, les empereurs chinois gardèrent jalousement le secret de la sériciculture et l’entourèrent de mille secrets. Ils en gardèrent d’ailleurs la production exclusive durant trois millénaires. Les Grecs puis les Romains crurent ainsi que la soie poussait sur les feuilles des arbres, appelés aussi « arbre à laine ». Sous l’Antiquité, ils nommèrent d’ailleurs les Chinois « les Seres » littéralement peuple de la soie.
L’expression « route de la soie » est récente, puisqu’elle apparaît dans la bouche du géographe allemand Ferdinand Von Richthofen au 19e siècle. Cette notion revêt cependant une réalité historique, géographique et culturelle dont la soie est simplement un symbole, car elle était considérée comme l’un des biens les plus précieux qui voyagèrent d’Asie jusqu’au bassin méditerranéen.
Au IIe siècle Av J.-C. lorsque l’empire du Milieu s’ouvrit à l’occident, les empereurs chinois gardèrent jalousement le secret de la sériciculture et l’entourèrent de mille secrets. Ils en gardèrent d’ailleurs la production exclusive durant trois millénaires. Les Grecs puis les Romains crurent ainsi que la soie poussait sur les feuilles des arbres, appelés aussi « arbre à laine ». Sous l’Antiquité, ils nommèrent d’ailleurs les Chinois « les Seres » littéralement peuple de la soie.
Quand l'Orient s'ouvre à l'Occident
La route de la Soie est considérée comme l’héritière de la route de jade dont les vestiges datent de 7000 ans, période où les Chinois cherchaient hors de leurs frontières le précieux jade. Cependant, historiquement, on considère que la Route de la soie fut ouverte par l’empereur Wudi au IIe siècle Av J.-C. qui voulant combattre ses ennemis les Huns envoya son général Zhangqian pour aller trouver des alliances avec les pays de l’ouest. Voyageant bien au-delà de la grande muraille, le général noua des relations avec plus d’une trentaine de royaumes dont Samarcande ou la Perse pour ne citer qu’elles. L’expédition traça ainsi un itinéraire, lequel devint par la suite une route que les marchands adoptèrent pour transporter la soie, les tissus, les épices et différentes marchandises…
Au cours de ses pérégrinations Zhangqian, découvrit une race de chevaux qui fut la cause à de nombreuses caravanes chinoises visant à se les procurer en les troquant contre d’autres marchandises. C’est ainsi que la soie chinoise, monopole d’État, commença à être échangée et que la Chine se lia pour la première fois au monde occidental.
Source : www.epicetoo.fr
Les commerces de la Route de la Soie
La route de la Soie : de la route de jade à la route des épices…
La route de la soie : 2000 ans d’échanges
La route de la soie désigne l’ensemble des chemins, des sentiers et des pistes caravanières qu’ont empruntés les marchands de l’antiquité jusqu’au milieu du Moyen-âge pour faire leur négoce du continent asiatique au continent européen. Il s’agissait donc d’un réseau de routes commerciales entre l’Asie et l’Orient allant de Chan-An (actuelle Xi’An) alors capitale des empereurs de la dynastie Han jusqu’à Antioche en Syrie (actuelle Turquie) ou de Tyr (actuel Liban). À son apogée au milieu du XIIe siècle, la route de la soie s’étendait sur plus de 7 500 km reliant l’Asie centrale à la côte orientale de la méditerranée en passant par l’Afghanistan, l’Iran, l’Irak. La capitale de la Chine Chan-An comptait alors plus de deux millions d’habitants (soit dix fois la population de Constantinople à la même époque).
La route de la Soie contribua notamment très fortement à la naissance et à l’essor du commerce, des échanges culturels et religieux.
Source : www.epicetoo.fr
La route de la soie désigne l’ensemble des chemins, des sentiers et des pistes caravanières qu’ont empruntés les marchands de l’antiquité jusqu’au milieu du Moyen-âge pour faire leur négoce du continent asiatique au continent européen. Il s’agissait donc d’un réseau de routes commerciales entre l’Asie et l’Orient allant de Chan-An (actuelle Xi’An) alors capitale des empereurs de la dynastie Han jusqu’à Antioche en Syrie (actuelle Turquie) ou de Tyr (actuel Liban). À son apogée au milieu du XIIe siècle, la route de la soie s’étendait sur plus de 7 500 km reliant l’Asie centrale à la côte orientale de la méditerranée en passant par l’Afghanistan, l’Iran, l’Irak. La capitale de la Chine Chan-An comptait alors plus de deux millions d’habitants (soit dix fois la population de Constantinople à la même époque).
La route de la Soie contribua notamment très fortement à la naissance et à l’essor du commerce, des échanges culturels et religieux.
Source : www.epicetoo.fr
Les premiers voyageurs chinois
Les premiers voyageurs chinois sur la Route de la Soie
- Zhang Qian : au IIIe siècle av JC, ses deux voyages en Asie centrale ouvrirent la Route et établirent le premier échange culturel entre l’Orient et l’Occident.- Ban Chao : au Ier siècle de notre ère, il fut l’un des plus grands généraux de Chine et s’empara des royaumes de la Route de la Soie (Loulan, Khotan et Kashgar); il établit les premiers contacts avec les Parthes, les Babyloniens et les Syriens
- Fa Xian : au Ve siècle, fut le premier moine d’une longue série de bouddhistes chinois à faire le pèlerinage en Inde; il passa une grande partie de sa vie à traduire du sanscrit les soutras qu’il avait rapportés de ses longs périples. Le compte rendu de ses voyages au 5ème siècle "Un Mémoire sur les Royaumes bouddhistes" l’immortalisa aussi bien en Chine qu’en Occident.
- Xuan Zang : au VIIe siècle, le plus connu de tous les voyageurs de la Route de la Soie; deux récits de son voyage sont devenus des classiques chinois.
Source : www.edelo.net
Histoire de la Route de la Soie
Histoire de la Route de la Soie
La Route de la Soie était un réseau de routes commerciales entre l'Asie et l'Europe allant de Chang'an (actuelle Xi'an) en Chine jusqu'à Antioche en Syrie. Elle doit son nom à la plus précieuse marchandise qui y transitait : la soie, dont seuls les Chinois connaissaient le secret de fabrication. Cette dénomination de 'route de la soie' est due à un géographe allemand du XIXe siècle.
Les caravanes partaient de Xi'an, empruntaient le corridor du Gansu puis contournaient le désert du Taklamakan par le nord au pied des hautes montagnes des Tian Shan ou par le sud au pied des Kunlun; ces deux routes étaient jalonnées de villes et caravansérails : au nord, Turfan, Ürümqi, Karachahr, Koutcha, Aksou, Kashgar et au sud Dunhuang, Miran, Cherchen, Niya, Khotan, Yarkand. À partir de Kashgar et Yarkand, les pistes rejoignaient la Perse ou l'Inde à travers les hautes montagnes de l'Asie centrale (Pamir et Karakoram), puis par la Sogdiane (Samarcande, Boukhara, Merv), la Bactriane ou le Cachemire. Peu de caravanes effectuaient l'intégralité du trajet et les marchandises étaient revendues le long de la route dans les oasis qui devinrent des centres de commerce très prospères.
Historiquement, on considère que la Route de la Soie a été ouverte par le général chinois Zhang Qian au IIe siècle av JC; l’empereur l'avait envoyé sceller une alliance avec les tribus situées à l’ouest du désert de Taklamakan. Alexandre le Grand s’était arrêté bien avant d’atteindre le Turkestan chinois. Les Romains, qui n’étaient pas mieux renseignés, étaient convaincus que les Sères ('peuple de la soie', c’est à dire les Chinois) récoltaient la soie sur les arbres. Les Parthes, les Sogdiens et les Indiens devinrent rapidement les principaux intermédiaires dans le commerce de la soie entre l’est et l’ouest, achetant le tissu aux marchands chinois qui l’acheminaient jusqu’à Dunhuang, et le revendant aux Syriens et aux Grecs. Chaque transaction augmentait considérablement le prix du produit qui aboutissait dans l’Empire romain par le biais d’intermédiaires grecs et juifs.
La soie ne représentait qu’une petite partie du commerce effectué sur la Route de la Soie. Les caravanes qui partaient vers l’est emportaient de l’or, des pierres et des métaux précieux, des textiles, de l’ivoire et du corail, alors que celles qui allaient en Occident étaient chargées de fourrures, de céramiques, de cannelle et d’armes en bronze.
L’importance de ces nouveaux liens terrestres entre Orient et Occident se mesurent également aux idées et aux croyances véhiculées par les hommes qui accompagnaient ces caravanes. L'impact des pensées religieuses et philosophiques de l'Inde, de l'Asie centrale et du Moyen-Orient allait être immense tant en Chine que dans les autres pays de l'Asie; en particulier, le bouddhisme introduit au début de l'ère chrétienne connut une expansion rapide le long de la Route de la Soie et de nombreuses grottes et monastères furent construits dans les oasis; l'âge d'or du bouddhisme prendra fin en 845 lorsque l'empereur hostile aux religions étrangères les interdira. On a du mal à imaginer que des monastères bouddhiques dominaient autrefois la vie culturelle d'Asie Centrale.
Les apports de la Route de la Soie sont énormes : elle a permis de maintenir une culture internationale qui liait ensemble des peuples très divers; elle eut un fort impact d'intégration dans les régions traversées sur les tribus qui vivaient auparavant isolées; elle a amené le nestorianisme, le manichéisme, le bouddhisme et l'islam en Asie centrale et en Chine. A la religion et à l'art, il convient d'ajouter les technologies : des chinois, l'Asie centrale n'apprit pas seulement à couler le fer, mais aussi à fabriquer du papier. À la fin de sa gloire, la Route de la Soie a contribué à l'établissement du plus grand empire continental de tous les temps : l'Empire des Mongols .
Vers la fin du VIIIe siècle, les routes maritimes qui reliaient le port méridional de Canton au Moyen-Orient étaient bien établies. L’art de la sériciculture avait été maitrisé par les Perses et, même si la soie ne fut pas produite en Europe avant le XIIe siècle, l’apogée de la Route de la Soie tirait à sa fin. La chute de la dynastie Tang au Xe siècle conduisit la Chine au chaos; à la même époque, des communautés entières dans les oasis disparaissaient suite au tarissement des sources. Les turbulences occasionnées par Gengis Khan et Tamerlan minèrent l'économie de la région. L'Asie centrale restera longtemps en dehors des préoccupations de l'Orient et de l'Occident jusqu'à l'arrivée des explorateurs russes et anglais au XIXe siècle.
La Route de la Soie était un réseau de routes commerciales entre l'Asie et l'Europe allant de Chang'an (actuelle Xi'an) en Chine jusqu'à Antioche en Syrie. Elle doit son nom à la plus précieuse marchandise qui y transitait : la soie, dont seuls les Chinois connaissaient le secret de fabrication. Cette dénomination de 'route de la soie' est due à un géographe allemand du XIXe siècle.
Les caravanes partaient de Xi'an, empruntaient le corridor du Gansu puis contournaient le désert du Taklamakan par le nord au pied des hautes montagnes des Tian Shan ou par le sud au pied des Kunlun; ces deux routes étaient jalonnées de villes et caravansérails : au nord, Turfan, Ürümqi, Karachahr, Koutcha, Aksou, Kashgar et au sud Dunhuang, Miran, Cherchen, Niya, Khotan, Yarkand. À partir de Kashgar et Yarkand, les pistes rejoignaient la Perse ou l'Inde à travers les hautes montagnes de l'Asie centrale (Pamir et Karakoram), puis par la Sogdiane (Samarcande, Boukhara, Merv), la Bactriane ou le Cachemire. Peu de caravanes effectuaient l'intégralité du trajet et les marchandises étaient revendues le long de la route dans les oasis qui devinrent des centres de commerce très prospères.
Historiquement, on considère que la Route de la Soie a été ouverte par le général chinois Zhang Qian au IIe siècle av JC; l’empereur l'avait envoyé sceller une alliance avec les tribus situées à l’ouest du désert de Taklamakan. Alexandre le Grand s’était arrêté bien avant d’atteindre le Turkestan chinois. Les Romains, qui n’étaient pas mieux renseignés, étaient convaincus que les Sères ('peuple de la soie', c’est à dire les Chinois) récoltaient la soie sur les arbres. Les Parthes, les Sogdiens et les Indiens devinrent rapidement les principaux intermédiaires dans le commerce de la soie entre l’est et l’ouest, achetant le tissu aux marchands chinois qui l’acheminaient jusqu’à Dunhuang, et le revendant aux Syriens et aux Grecs. Chaque transaction augmentait considérablement le prix du produit qui aboutissait dans l’Empire romain par le biais d’intermédiaires grecs et juifs.
La soie ne représentait qu’une petite partie du commerce effectué sur la Route de la Soie. Les caravanes qui partaient vers l’est emportaient de l’or, des pierres et des métaux précieux, des textiles, de l’ivoire et du corail, alors que celles qui allaient en Occident étaient chargées de fourrures, de céramiques, de cannelle et d’armes en bronze.
L’importance de ces nouveaux liens terrestres entre Orient et Occident se mesurent également aux idées et aux croyances véhiculées par les hommes qui accompagnaient ces caravanes. L'impact des pensées religieuses et philosophiques de l'Inde, de l'Asie centrale et du Moyen-Orient allait être immense tant en Chine que dans les autres pays de l'Asie; en particulier, le bouddhisme introduit au début de l'ère chrétienne connut une expansion rapide le long de la Route de la Soie et de nombreuses grottes et monastères furent construits dans les oasis; l'âge d'or du bouddhisme prendra fin en 845 lorsque l'empereur hostile aux religions étrangères les interdira. On a du mal à imaginer que des monastères bouddhiques dominaient autrefois la vie culturelle d'Asie Centrale.
Les apports de la Route de la Soie sont énormes : elle a permis de maintenir une culture internationale qui liait ensemble des peuples très divers; elle eut un fort impact d'intégration dans les régions traversées sur les tribus qui vivaient auparavant isolées; elle a amené le nestorianisme, le manichéisme, le bouddhisme et l'islam en Asie centrale et en Chine. A la religion et à l'art, il convient d'ajouter les technologies : des chinois, l'Asie centrale n'apprit pas seulement à couler le fer, mais aussi à fabriquer du papier. À la fin de sa gloire, la Route de la Soie a contribué à l'établissement du plus grand empire continental de tous les temps : l'Empire des Mongols .
Vers la fin du VIIIe siècle, les routes maritimes qui reliaient le port méridional de Canton au Moyen-Orient étaient bien établies. L’art de la sériciculture avait été maitrisé par les Perses et, même si la soie ne fut pas produite en Europe avant le XIIe siècle, l’apogée de la Route de la Soie tirait à sa fin. La chute de la dynastie Tang au Xe siècle conduisit la Chine au chaos; à la même époque, des communautés entières dans les oasis disparaissaient suite au tarissement des sources. Les turbulences occasionnées par Gengis Khan et Tamerlan minèrent l'économie de la région. L'Asie centrale restera longtemps en dehors des préoccupations de l'Orient et de l'Occident jusqu'à l'arrivée des explorateurs russes et anglais au XIXe siècle.
source : www.edelo.net
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