La Soie légendaire : un secret jalousement gardé
L’expression « route de la soie » est récente, puisqu’elle apparaît dans la bouche du géographe allemand Ferdinand Von Richthofen au 19e siècle. Cette notion revêt cependant une réalité historique, géographique et culturelle dont la soie est simplement un symbole, car elle était considérée comme l’un des biens les plus précieux qui voyagèrent d’Asie jusqu’au bassin méditerranéen.
Au IIe siècle Av J.-C. lorsque l’empire du Milieu s’ouvrit à l’occident, les empereurs chinois gardèrent jalousement le secret de la sériciculture et l’entourèrent de mille secrets. Ils en gardèrent d’ailleurs la production exclusive durant trois millénaires. Les Grecs puis les Romains crurent ainsi que la soie poussait sur les feuilles des arbres, appelés aussi « arbre à laine ». Sous l’Antiquité, ils nommèrent d’ailleurs les Chinois « les Seres » littéralement peuple de la soie.
L’expression « route de la soie » est récente, puisqu’elle apparaît dans la bouche du géographe allemand Ferdinand Von Richthofen au 19e siècle. Cette notion revêt cependant une réalité historique, géographique et culturelle dont la soie est simplement un symbole, car elle était considérée comme l’un des biens les plus précieux qui voyagèrent d’Asie jusqu’au bassin méditerranéen.
Au IIe siècle Av J.-C. lorsque l’empire du Milieu s’ouvrit à l’occident, les empereurs chinois gardèrent jalousement le secret de la sériciculture et l’entourèrent de mille secrets. Ils en gardèrent d’ailleurs la production exclusive durant trois millénaires. Les Grecs puis les Romains crurent ainsi que la soie poussait sur les feuilles des arbres, appelés aussi « arbre à laine ». Sous l’Antiquité, ils nommèrent d’ailleurs les Chinois « les Seres » littéralement peuple de la soie.
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