Djalal el Din RUMI 1207 à Balkhal (Khorasan) 1273 à Konya(Roum-act.Turquie), adepte du soufisme, fréquente les derviches tourneurs, a écrit en persan le poème moral « Mathnavi »(50000vers), des Robbayat (poèmes en quatrains(cf Omar Khayyam)et Mesnevi un recueil de contes, Soleil du réel. En 1220-22 il fuit devant les Mongols : Nichapur, La Mecque, Konya. Très connu aux USA, traduit du persan en français au 20e siècle. Son histoire est racontée par Alexandre Jodorowski (auteur de BD dans Humanoïdes associés cf Moebius) dans le livre intitulé La Sagesse des Contes de Roumi.
Hier, j’étais intelligent et je voulais changer le monde
Aujourd’hui, je suis sage, et je me change moi-même..
Parais tel que tu es, ou sois tel que tu parais.
Il y a une voix qui n’utilise pas les mots. Ecoute la.
Ainsi l’être humain est une auberge
où chaque matin un nouvel arrivant, une joie, un découragement, une méchanceté,une conscience passagère se présentecomme un hôte qu’on n’attendait pas (…)
Sois reconnaissant à tous ceux qui viennent,car chacun est un guide qui t’es envoyé de l’au-delà.
La femme est le rayon de la lumière divine
Cache tes (bonnes) actions non seulement aux yeux des autresmais aussi à tes propres yeux, afin qu’elles puissent être en sécurité loin du mauvais œil.
Le passé et le futur n’existent qu’en relation avec toi,tous deux ne sont qu’un, c’est toi qui pense qu’ils sont deux !
Il y a beaucoup de chemins pour atteindre Dieu : je choisis l’Amour.
Ce que Dieu a dit à la rose et qui fait s’épanouir sa beauté,il l’a dit à mon cœur et l’a rendu cent fois plus beau.
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